Je me retournais alors. Derrière moi se tenait Dédé, 54 ans, agriculteur, l’air complètement ahuri. Complètement paniqué, je pris le dindon dans mes bras, et me mis à courir comme un fou à travers les bois, en porte jarretelles, oubliant même de prendre mes vêtements. Courir en porte jarretelles était très pénible, car j’avais une érection monstre, et il faut dire que la ficelle dans le cul n’arrangeait vraiment pas les choses.

Je ne cessai de courir, sans but précis, à travers la forêt. Les gens ne pouvais pas comprendre. Non, ils ne pouvaient pas. Comment allait-je rentrer chez moi ? Ma mère allait me tuer, si elle me voyait débarquer en porte jarretelles. Et le paysan, m’avait-il reconnu ? Je ne savais pas.

Enfin, je finit par tomber une sur sorte d’usine abandonné, en plein milieu de la forêt. Moi et Shauni, nous nous hasardâmes à rentrer à l’intérieur. Il n’y avait personne. C’était un endroit calme et isolé, bref, parfait pour pouvoirs satisfaire pleinement nos envies sexuelles.

« -Je crois que nous avons semé le vieux, Shauni »

Et je l’embrassai de nouveau, ma langue caressant doucement sa petite langue de dindon. Puis, sans crier gare, il me fit une fellation, me gobant mon pénis tout entier, et me caressant le gland du bout de son bec. C’était… Enorme.

Je ne pouvais plus attendre. Je retourna le dindon, et l’encule à sec, faisant de violents va-et-vient dans son trou-du-cul d’oiseau. L’oiseau gémissait de bonheur, et moi aussi. Je gueulais même comme un malade, et j’entendais ma voix raisonner dans l’usine. Soudain, je sentis que quelque chose « bloqua » mon pénis. Et c’est là que je me rendis compte avec stupeur que l’anus du dindon ne supporta pas ma sodomie si violente, et se referma sur mon pénis.

Coincé. On était coincé. J’étais terrorisé. Je me relève alors, encore plus paniqué que tout à l’heure, ficelle dans le cul et dindon pendant au bout de mon sexe.